La plupart des gens ne réfléchissent jamais aux
raisons qu’ils ont de croire ce qu’ils croient ou de faire ce qu’ils
font. Nous acceptons les coutumes comme allant de soi.
Examinons
soigneusement les racines de la fête de Noël. Voyons quelles sont
les raisons de l’existence des coutumes qui lui sont
associées.
Pourquoi
la fête s’observe-t-elle le 25 décembre ?
Cette date était celle de la fête
païenne du solstice d’hiver appelé «Naissance (en latin, Natale -racine du mot Noël)
du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent...».
Cette
fête rend hommage à la nature et plus spécialement à son renouveau. Après le Solstice
d'hiver, les jours commencent peu à peu à rallonger et pour s'assurer du
soutien de la nature, les hommes célèbrent ce renouveau depuis que le monde est
monde. Si les fêtes attachées au Solstice d'hiver sont encore très mystérieuses
avant l'époque des Romains, les Dolmens et les alignements de menhirs dans
toute l'Europe sont la preuve que déjà à l'époque préhistorique le Solstice
d'hiver tenait une place prépondérante dans les croyances et les rituels.
Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que
c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date
fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales !
Amalgame entre célébration et débauche
Les premiers Romains ne célébraient pas Noël
mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de
l’hiver, ou du solstice d’hiver. Période pendant laquelle le soleil
avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours
commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance. Dans
le monde romain, les saturnales (festival du 17 au 24 décembre) - l'un
des moments les plus importants de leur calendrier - étaient une
période de réjouissances et d’échanges de cadeaux.
Le 25 décembre (pour les
Romains, le 6 janvier pour les Egyptiens) était
également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien
Mithra, le Soleil de Justice.
Les saturnales, bien entendu,
célébraient Saturne, le dieu du feu.
Pratiquement
tout dans la célébration de Noël tient ses racines dans les coutumes et la
religion romaines. Selon le journal américain The Buffalo
News, 22 novembre 1984 : «La référence la plus ancienne à la célébration
de Noël (25 décembre), est datée du second siècle après la naissance de
Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en
réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du
solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des
semailles» parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre
l’ensemencement et la croissance des cultures.
A la même époque que les Saturnales romaines,
les peuples nordiques célébraient Njord, dieu de la fécondité et Idun,
gardienne "des pommes de providence", nourriture des dieux tandis que
chez les orientaux, les peuples rendaient un culte à Mithra, divinité de la
lumière. A chaque fois, les fêtes donnaient lieu à de grandes réjouissances et
des repas fastueux.
Ce n'est qu'au 4e siècle que l'Eglise chrétienne décida
pour contrer les pratiques païennes ancestrales d'avancer la fête de la
naissance du Christ du 6 janvier au 25 décembre.
Texte violet : Source
La fête de Noël, dit un érudit, a pris de
l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun)
par l’adoration du Fils (Son). En
529 ap. J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état,
l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de
celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant
la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée
et de festivités encore inégalées.
Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie
catholique, édition 1911, sous la rubrique «Noël». «Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église… les
premières preuves de son existence proviennent d’Égypte.» De plus,
«Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent
vers Noël.» Sous le titre «jour de la nativité».
Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine
observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire
dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du Christ. (Encyclopédie Britannique, citation sous la rubrique
«Noël».15e éd., Vol.II, p.903).
Le Christ est-Il né un 25 décembre ?
Un grand nombre d’encyclopédies stipulent
clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre, mais plutôt durant
l’automne.
Luc 2:8
nous explique que lorsque le Christ est né. «Il y avait, dans cette même
contrée, des bergers qui passaient
dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs
troupeaux».
Esdras
10:9-13 et le Cantique des Cantiques 2:11 montrent que l’hiver était la saison
des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.
Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?
Plusieurs disent qu’ils «honorent le Christ» par leur observance de Noël.
En fait, Dieu nous commande clairement de ne pas le faire. Le Christ a dit : «C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes» (Matth 15:9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit : «Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition» (Mc 7:9).
La Bible enseigne que les chrétiens ne doivent pas observer les anniversaires de naissance :
L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : «Noël… ne fut pas observé pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance… une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. »
Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie (Les Romains) accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen.
Quel
est l’origine du père noël ?
Selon «l’Encyclopedia of World History» de
Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun
de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui
descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu
pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains
pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de «Saint
Nicolas». L’expression anglaise «Old Nick», que l’on
retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme
un surnom du diable. Dans Apocalypse
2:6 et 15, la Bible traite du sujet de la «doctrine des Nicolaïtes» à propos
de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie «disciple
de Nicolas». Nikos signifie «conquérant, destructeur». Laos signifie
«peuple». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou
destructeur — Nimrod.
S’échanger
des cadeaux
Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre
d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un
nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner
des cadeaux provient de l’exemple des «trois rois mages» (la Bible ne
dit pas combien ils étaient) faisant des dons au Christ.
On croit d’une façon générale que ces présents étaient des
cadeaux d’anniversaire pour «l’enfant Jésus».
Mais est-ce bien ce que la
Bible dit ?
«Adam Clarke Commentary » volume 5, p.46, Verset 11 : Ils Lui offrirent [des présents]. Les
gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans
avoir un présent dans leurs mains. On peut souvent remarquer
cette coutume dans l’Ancien Testament, et elle a toujours cours en orient de
nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du
sud. »
Des
présents étaient couramment faits aux rois.
De plus, les rois Mages arrivèrent bien après son «anniversaire de
naissance». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait
être des «cadeaux d’anniversaire» .
L’origine
de l’Arbre de noël
Le livre de Frederick J. Haskins intitulé Answers
to Questions dit : «L’arbre de Noël provient d’Égypte et son
origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël».
L’arbre de Noël moderne a eu son origine en Allemagne. Mais
les Allemands l’ont eu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens
et des Égyptiens.
Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à
propos de l’Origine de l’arbre de Noël : «Une
vieille fable babylonienne parle d’un arbre «toujours vert» qui était sorti de la souche d’un arbre mort.»
La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait
Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le
chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les
Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges
pendant les saturnales ! (Walsh, Curiosities of Popular Customs,
p. 242).
L’arbre de Noël est directement mentionné dans la Bible :
Jérémie 10:2-5 : «Ainsi parle l’Eternel
: N’imitez pas la voie des nations… Car les COUTUMES des peuples
ne sont que VANITE. On coupe le bois [l’arbre] dans la forêt ; la main de l’ouvrier
le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le
fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont
comme une colonne massive [un palmier], et ils ne parlent point ; on les porte,
parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas (comme dieu), car ils ne
sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.»
L’origine de la
bûche, des couronnes et du gui
Le Jour de l’An romain (1er janvier), les
maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient
remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites
germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée
en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La
nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la
période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient
tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et
les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été
associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens.
L’Encyclopedia Americana dit
: «Le houx, le gui, la bûche de Noël… sont des vestiges de l’ère
pré-chrétienne.» Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël)
faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature.
Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : «Les
autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur
origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits
de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël.»
Pendant les saturnales, la
fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées
en gage d’amitié. Les premiers
chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration
pendant la période de Noël.
La citation qui suit provient de
la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël »,
écrite par M. Herbert W. Armstrong :
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année… [où] vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ».
Texte rouge : Source
... Notre époque semble avoir des traits similaires aux coutumes babylonniennes !
A méditer ...
Il est vrais que les chemins de vérité et de clarté nécessitent un certain travail et investigation, pour s'y retrouver, et ne pas se mettre à plat ventre devant n'importe quoi !
RépondreSupprimerCe travail n'est pas donné à tout le monde ... ainsi : merci !!!
à ... la fée Ivi
Retour de Dami : Ca ne m'étonne pas que les 3/4 soient bidon! Tout est vraiment du foutage de gueule et tout le monde cour ! Et le pire, quand tu dis que les gens courent pour rien, on vient te remettre en place et on crie au scandale!
RépondreSupprimerIl y a beaucoup de choses que je pressentais et qui me rendaient dingue, tellement ça me paraissait simple et que "ça saute aux yeux". Avec ce genre d'article et des livres comme ceux de Pierre Rabhi, je comprend que j'ai tout à fait raison! Je trouve enfin des gens qui pensent la même chose que moi! C'est rassurant! (en fait, pas tant que ça quand j'y pense.... ; )