Qui sont les Créatifs Culturels ?

6 pôles de valeurs :
- L'écologie ; le bio, la consomm'action
- La reconnaissance des valeurs féminines
- Être plutôt que paraître et avoir
- L'ouverture multiculturelle
- La connaissance de soi ; la vie intérieure
- L'implication sociale


Ce réseau a pour objectif la mise en lien de tous ceux qui partagent ces mêmes valeurs :
Il fonctionne par l’apport de chacun, c’est un espace d’échanges, de partages et de co-créations.

17 févr. 2013

Initiative : Stop à la spéculation financière sur les matières 1eres agricoles

Lancement de l'initiative "Stop à la spéculation": on ne joue pas avec la nourriture !

La spéculation mondiale sur les denrées alimentaires se traduit par une envolée des prix, qui condamne des millions de personnes à la faim et à la malnutrition.

L’initiative demande que l’on mette fin à la spéculation sur les denrées alimentaires, qui est menée bien souvent, par des entreprises dont le siège se trouve en Suisse. Les marchés financiers cherchent en permanence de nouveaux secteurs d’investissement et ils ont jeté leur dévolu sur les matières premières agricoles. Seule une faible partie du commerce de denrées alimentaires se traduit par un échange réel de matières premières. Une proportion très importante de celles-ci sont échangées via des instituts financiers qui font des paris, comme dans un immense jeu de casino.

Résultat : des variations et des hausses de prix qui permettent aux nantis de s’enrichir encore sur le dos des plus démunis. Moins il y a de spéculation, plus les prix sont stables et bas.

 

La nourriture devient inabordable

Dans les pays en développement, les familles pauvres doivent dépenser jusqu’à 80% de leurs revenus pour se nourrir. Leur marge de manœuvre financière est très étroite. Plus les prix des aliments de base augmentent, plus on compte d’enfants et d’adultes qui souffrent de la faim. Rien que depuis juin de cette année, les prix ont augmenté de 45% pour le maïs, de plus de 50% pour le blé et de 30% pour le soja. Ce qui a précipité des millions de personnes dans la famine.
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, les personnes souffrant de la faim vivent surtout dans les régions rurales. Justement là où des millions de petits paysans et paysannes cultivent et récoltent les matières premières agricoles. Les plus affectés par cette situation sont les femmes et les enfants.
(...)

Signez dès maintenant!

En soutenant l’initiative «Stop à la spéculation», SWISSAID s’engage en Suisse pour la lutte contre la faim. Aidez-nous à récolter les 100'000 signatures nécessaires.
Vous trouverez une feuille de signature téléchargeable ici : http://www.swissaid.ch/sites/default/files/Unterschriftenbogen_Speku_FR.pdf

Merci de la retourner le plus rapidement possible.

Source : http://www.swissaid.ch/fr/stop-speculation-nourriture

VIDEO ici : www.solidar.ch/speculation

Moratoire sur les OGM en Suisse

OGM en Suisse: un régime de coexistence inacceptable
Le moratoire devait s'arrêter cette année, seulement le 12 déc. 2012, après le Conseil national, le Conseil des Etats s’est également prononcé pour une prolongation du moratoire sur la culture de plantes génétiquement modifiées (PGM) jusqu’à fin 2017.

Source : http://www.swissaid.ch/fr/node/1507

Néanmoins, la lutte n'est pas terminée !

Le Conseil fédéral a déjà réfléchit et proposé, le 30 janvier 12, un régime de coexistence entre les cultures conventionnelles et celles génétiquement modifiées en Suisse, dès la fin du moratoire sur les OGM en 2017.

La Suisse n'a nullement besoin de génie génétique dans son agriculture. Et donc nullement besoin d'un régime de coexistence.
Les agriculteurs et les consommateurs suisses ne souhaitent ni cultiver ni consommer des aliments génétiquement modifiés. Les conclusions du Programme national de recherche PNR 59 ont montré que l'agriculture OGM n'apporte aucun avantage à la Suisse. Dès lors, pourquoi le gouvernement propose-t-il un régime de coexistence?
(...)

La Suisse doit rester une terre sans OGM

La Suisse s'en sort très bien avec une agriculture exempt d'OGM. En tant que membre des organisations SAG et StopOGM, SWISSAID est fière d'avoir contribué au moratoire sur les OGM en Suisse. Une position qui encourage les producteurs en Asie, Afrique et Amérique Latine qui se battent contre l'introduction de plantes génétiquement modifiées dans leurs campagnes. Il n'y a aucune raison de menacer la qualité et la durabilité de l'agriculture suisse avec un régime de coexistence irréaliste. Au contraire, la Suisse doit ancrer dans sa loi sur l'agriculture l'interdiction définitive des OGM en Suisse au terme du moratoire en 2017.

Source : http://www.swissaid.ch/fr/ogm-regime-coexistence-inacceptable

A SURVEILLER !!

CLIP en conscience : http://www.youtube.com/watch?v=kUNxxXBAAQU

Pour de plus amples informations :
  • Dr Luigi D’Andrea, Chargé d’affaires pour StopOGM, 077 400 7043
  • Fabien Fivaz, Président de StopOGM, 078 740 06 51

13 févr. 2013

Votation du 3 mars : révision de la LAT

Oui je sais, ça fait un moment que je n'ai rien affiché, ni écrit, et ce volontairement car je voulais mettre la priorité au maximum à l'initiative de janvier pour le revenu inconditionnel garantissant un mimum vital à TOUS ... en espérant du fond du coeur que vous y ayez pris part activement en l'imprimant, la signant (même une seule peut suffir !!) et en l'envoyant aux personnes concernées !!!!

Aujourd'hui, je suis obligée de rompre cette priorité afin d'éclaircir un point obscur concernant les votations prochaines du 3 mars ! ... Il s'agit de la révision de la LAT ! On n'entend et ne lis que les discours aigris et effrayés des partis de droite !!!!!! Et si comme moi, vous avez eu, ou avez de la peine, à y répondre c'est parce qu'ils adorent nous embrouiller (volontairement) !!!! ...

Alors voici d'autres arguments (plus neutres) :
Près de 2 semaines après les Verts valaisans, plusieurs associations s'unissent pour défendre la révision de la loi sur l'aménagement du territoire soumise au peuple le 3 mars. Réunies ce lundi devant la presse, les sections valaisannes du WWF, de Pro Natura, de l'ATE et de Patrimoine Suisse, ainsi qu'Altitude 1400, ont présenté leurs arguments.
Ces organisations soulignent que la réduction de la zone à bâtir excédentaire est "une nécessité, mais pas une fatalité". Selon elles, le dézonage n'est qu'un "ultime recours". D'autres pistes peuvent être explorées, comme la création de zones dites "réservées", forme de zones à bâtir en attente.
"Aux communes d'êtres inventives", souligne Thierry Largey, chargé d'affaire pour Pro Natura Valais. Car, rappelle-t-il, "ce sont elles qui resteront compétentes pour l'aménagement du territoire. Elles pourront donc définir les surfaces qu'elles dézonent".
Dézonages, il y aura toutefois. Selon Altitude 1400 ans, ils pourraient concerner les terrains restés en friche depuis de nombreuses années, des zones exposées aux dangers naturels, ou encore les secteurs non-équipés et périphériques.

Source : http://www.rhonefm.ch/fr/informations/infos-a-chaud/revision-de-la-lat-plusieurs-associations-s-unissent-pour-defendre-le-oui-313-55290

UNITERRE et Agirinfo ont également leurs idées sur la question ... que je vous laisse découvrir si cela vous intéresse !

Je ne cherche ni a vous convaincre ni à prendre part à un parti quelconque, mais seulement à mettre en lumière le sujet !! Je ne peux que constater dans l'ensemble, que toutes ces associations citées sont POUR le respect et la protection de la Terre !! ... En conclusion, les peurs non fondées de la droite, principalement liées aux raisons économiques, sont pour protéger leurs intérêts et surtout leurs mauvaises manières d'agir comme de déclasser sans grande peine des zones agricoles pour bâtir des immeubles !!!!
Personnellement, à choisir, je privilégie la Terre à l'argent !!

J'espère que ceci vous éclairera un peu plus... et surtout que l'on fera le bon choix !!!

A diffuser sans modération !!