Cette initiative a le mérite de vouloir nous libérer de la dépendance salariale et de créer notre autonomie !
VIDEO : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=-cwdVDcm-Z0#!
C'est une allocation universelle d'un montant suffisant pour couvrir les besoins essentiels, que tout citoyen reçoit de toute façon, sans formalités ni conditions.
Le revenu de base établit pour chaque personne légalement établie dans le pays le droit à une existence économique digne. Nul ne pourra plus être dans la précarité ni marginalisé parce qu'il n'a pas un revenu suffisant.
Puisque tout le monde le reçoit, ce n'est pas une prestation sociale.
Comme tout le monde le reçoit, personne ne peut être stigmatisé, ni culpabilisé. C'est une différence fondamentale avec les systèmes de protection sociale actuels.
Il remplace les prestations sociales actuelles jusqu'à hauteur de leur montant.
Il n'est plus nécessaire de demander une prestation sociale lorsque nous ne pouvons trouver un travail ou que notre activité n'est pas rémunérée. Le revenu de base est inconditionnel et se substitue à l'aide sociale, l'AI, l'AVS, jusqu'à concurrence de leur montant. Les besoins en sus resteront couverts de la même manière que maintenant.
Il s'impose dans une économie qui ne peut plus garantir le plein emploi.
Le chômage est devenu une conséquence systémique de la rationalisation et de la recherche en profit des entreprises. Il frappe déjà particulièrement les jeunes, les moins jeunes ou les profils moins compatibles avec le marché de l'emploi. Dans ce contexte, les mesure de réinsertion ne peuvent représenter de véritables solutions. Le revenu de base lui permet un partage intelligent du travail, en donnant la liberté aux uns de travailler moins, et aux autres qui le souhaitent de simplement travailler, ou de travailler plus.
Il permet à l'homme de valorier son plein potentiel créatif.
Les progrès industriels nous ont promis de largement libérer l'homme de la contrainte du travail. Le revenu de basse, en accordant à chacun la sécurité économique, réalise cette promesse en donnat à chacun le choix entre une activité plus lucrative ou plus créative (artisanat, art, recherche, relations humaines, etc.).
Il est discuté dans le monde entier et soutenu par différents réseaux et personnalités.
Les premiers écrits sur le revenu de base datent du 16e siècle déjà. Depuis, cette idée a été reprise par différents penseurs tout au long de l'histoire, notamment dans une forme approchante par Milton Friedmann, prix Nobel de l'économie. Aujourd'hui, il est devenu plus que jamais d'actualité et son application sous certaines formes existe déjà dans le monde.
Il peut être financé.
Un revenu de base peut être financé par le transfert du montant économisé sur les prestations sociales et du montant économisé par les entreprises avec la réduction de leurs charges salariales, assorti d'un impôt complémentaire qui devrait épargner les revenus modestes.
L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Elle est connue sous des appellations diverses : allocation universelle, revenu d’existence, revenu citoyen, revenu universel, revenu social garanti, dividende universel, revenu de vie, etc. Le revenu de base ne doit pas être confondu avec le salaire minimum, l’assurance chômage, l’aide sociale ou toute autre prestation attribuée de manière conditionnelle. Le revenu de base, lui, est automatique, inconditionnel et inaliénable. Il concerne tout le monde, riches ou pauvres. Il est attribué à chaque individu, de la naissance à la mort. Son montant est suffisant pour garantir à chacun une existence décente – quoi qu’il arrive. Il est cumulable avec les autres revenus (salariés ou non). Il ne peut être saisi aux plus modestes, mais il entre dans l’assiette d’imposition des plus aisés.
Le revenu de base n'est pas un salaire ! Loin d’être un encouragement à la paresse, le revenu de base permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer. Aujourd’hui déjà, plusieurs groupes de la population sont actifs en dehors de la sphère du travail rémunéré
Ethique du travail : On aurait tort de limiter la valeur du travail à sa valeur marchande, comme cela se passe aujourd’hui de manière croissante. Ce n’est pas le revenu de base, mais les formes et conditions d’emploi pratiquées actuellement qui détruisent la morale du travail. Au contraire, le revenu de base rétablit la valeur éthique du travail, autant vis-à-vis de la société que de soi-même.
Par ailleurs, la paresse n’est pas inscrite dans le génome humain ; ce n’est qu’une réaction contre les travaux forcés. En accordant la liberté aux travailleurs de refuser le travail, on commence par les responsabiliser. On fait tomber le prétexte de la nécessité. Sans la liberté, il n’y a pas de véritable éthique du travail, que de l’hypocrisie.
Source et plus d'infos sur :
http://bien-ch.ch/fr/page/initiative-federale#revenudebase
Neuf mois après le lancement de l’initiative populaire, le comité a récolté plus de 70’000 signatures en Suisse ! ... Et pourrait nous faire voter sur la question ...
A suivre !
Le revenu de base n'est pas un salaire ! Loin d’être un encouragement à la paresse, le revenu de base permettra à chacun, dans la mesure de ses capacités et de son désir, de s’engager de manière sereine, libre et responsable, dans des travaux essentiels pour l’intérêt général que les emplois traditionnels n’ont pas vocation à assumer. Aujourd’hui déjà, plusieurs groupes de la population sont actifs en dehors de la sphère du travail rémunéré
Ethique du travail : On aurait tort de limiter la valeur du travail à sa valeur marchande, comme cela se passe aujourd’hui de manière croissante. Ce n’est pas le revenu de base, mais les formes et conditions d’emploi pratiquées actuellement qui détruisent la morale du travail. Au contraire, le revenu de base rétablit la valeur éthique du travail, autant vis-à-vis de la société que de soi-même.
Par ailleurs, la paresse n’est pas inscrite dans le génome humain ; ce n’est qu’une réaction contre les travaux forcés. En accordant la liberté aux travailleurs de refuser le travail, on commence par les responsabiliser. On fait tomber le prétexte de la nécessité. Sans la liberté, il n’y a pas de véritable éthique du travail, que de l’hypocrisie.
Source et plus d'infos sur :
http://bien-ch.ch/fr/page/initiative-federale#revenudebase
Neuf mois après le lancement de l’initiative populaire, le comité a récolté plus de 70’000 signatures en Suisse ! ... Et pourrait nous faire voter sur la question ...
A suivre !
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